Menu Bubble Icon Check Horaires Twitter Envoyer Recherche Lecture Linkedin Téléphone Facebook Email Devis Fermer Logo Cerfrance Long Arrow Arrow Agence Mon compte Information Téléphone Icon Calendrier
Toutes les actualités

11 janvier 2024 - Relations Humaines & Coaching

Quelle est l’importance des rémunérations périphériques ?

Temps de lecture 4 minutes

Les rémunérations périphériques sont des rémunérations complémentaires au salaire principal. Elles peuvent prendre des formes diverses. Ces différentes rétributions aident les employeurs à fidéliser et à motiver leurs équipes, sans avoir à passer par une augmentation du salaire. L’entreprise se place dans un schéma « gagnant-gagnant » puisque les salariés bénéficient de plus de pouvoir d’achat et l’entreprise gagne en motivation et donc en productivité.

Chèques vacances, culture et titres restaurants

  • Chèques vacances : L’employeur prend à sa charge entre 50 à 80 % de leur valeur. Cette participation est exonérée de contributions sociales, pour les entreprises de moins de 50 salariés, dans la limite de 490 € par an. Pour le salarié, la participation de l’employeur est exonérée d’impôt, dans la limite d’un Smic brut mensuel.  
  • Chèques culture : Ils permettent aux salariés d’acheter des biens ou prestations à caractère culturel (livres, concerts, musées…). Simple d’utilisation, le chèque culture n’est ni plafonné en montant, ni assujetti à contributions sociales. Il est également exonéré d’impôt pour le salarié qui le perçoit.  
  • Titres-restaurant : L’employeur prend à sa charge 50 à 60 % de leur valeur. Cette participation est exonérée de contributions sociales dans la limite de 6,5 € depuis le 1er janvier 2023.  

Épargne salariale

L’épargne salariale permet aux employés de se constituer une épargne, tout en bénéficiant d’une fiscalité avantageuse. La mise en place d’un plan épargne entreprise (PEE) ou d’un plan épargne retraite (PER collectif) est un atout pour une entreprise. L’abondement versé sur ces plans d’épargne (jusqu’à 3 fois le montant des versements réalisés par les salariés) est exonéré d’impôt. Lors du déblocage du plan d’épargne, les sommes seront, sous certaines conditions, exonérées d’impôt sur le revenu. Le chef d’entreprise bénéficie aussi, dans les entreprises de moins de 250 salariés, de cet avantage.

Aides aux transports

Le coût du transport est un critère pour le salarié dans le choix de son entreprise. Les employeurs ont à leur disposition différentes mesures permettant de réduire ce coût.

  • Forfait mobilité durable (FMD) : Il vise à encourager la mobilité durable en versant une subvention aux salariés qui optent pour l’utilisation de transports écologiques (vélo, marche, transports publics, covoiturage, voitures électriques…). L’employeur bénéficie d’une exonération de contributions sociales dans la limite de 700 € par an et par salarié. Ce dernier est, quant à lui, exonéré d’impôt sur le revenu dans cette même limite.  
  • Prise en charge des frais d’abonnement aux transports publics : Elle est au minimum de 50 % du montant de l’abonnement, mais l’employeur peut décider d’une prise en charge plus élevée. Elle est exonérée de contributions sociales jusqu’à 75 % en 2023.  
  • Prime transport : Elle consiste, pour l’entreprise, à prendre en charge les frais de carburant jusqu’à 400 €, par an et par salarié, et est exonérée de contributions sociales, si elle respecte cette limite.  

Les avantages en nature sont aussi très appréciés par les salariés ! Quelques exemples :

• Octroi d’un véhicule de fonction ou d’un logement
• Installation d’une salle de gym ou de détente
• Promotion sur les productions de l’entreprise
• Espace de restauration, crèche, conciergerie…  

Par Aline Thopart, Fiscaliste

Article issu du magazine Cerfrance « Gérer pour Gagner » août, septembre, octobre 2023 – Retrouvez l’intégralité du magazine dans votre espace client.

Toutes les actualités

20 décembre 2023 - Fiche de paie & Conseil RH

Découvrez notre offre Partenaire paie & Conseil RH

Temps de lecture 1 minute

Vous cherchez à simplifier la gestion de votre entreprise et renforcer votre performance sociale ? Cerfrance vous présente en vidéo son offre Partenaire paie & Conseil RH.

Votre expert RH Cerfrance s’occupe de tout en 5 étapes :

  • Diagnostic management d’équipe avec le dirigeant
  • Analyse du mode de fonctionnement de l’entreprise et de celui des salariés à l’aide d’entretiens et de tests de personnalité
  • Restitution individuelle avec le dirigeant et élaboration d’un plan d’action
  • Journée de présentation et d’échanges avec vos équipes
  • Suivi à 3 mois de l’évolution de votre communication et de votre management

Une manière simple et efficace de renforcer votre management d’équipe durablement !

Vous êtes intéressé(e) par notre prestation ?

Toutes les actualités

14 décembre 2023 - Relations Humaines & Coaching

Salarié à temps partiel : comment faire face à un surcroit d’activité ?

Temps de lecture 3 minutes

informatique-conseil-digital-professions-libérales

Dans un environnement professionnel en constante évolution, il peut arriver que les entreprises aient besoin d’augmenter la durée de travail d’un salarié à temps partiel.

Que cela soit dû à une augmentation de la charge de travail, à des besoins opérationnels changeants ou à une croissance de l’entreprise, il existe des stratégies pour augmenter la durée du travail d’un employé à temps partiel de manière équilibrée et bénéfique pour toutes les parties impliquées.

1. Le recours aux heures complémentaires

Les heures complémentaires offrent la possibilité de faire travailler votre salarié au-delà du temps prévu dans son contrat et de le rémunérer en fonction du temps de travail effectif.

Ce recours aux heures complémentaires doit s’effectuer dans le respect des limites légales et conventionnelles. Le nombre d’heures complémentaires autorisées est généralement limité à 10% (parfois le 1/3) de la durée prévue au contrat, et ne doit jamais porter la durée effective à 35 heures sur la semaine.

Les heures complémentaires sont majorées de 10% dans la limite du 10ème et de 25% au-delà, sauf dispositions conventionnelles contraires.

2. Le complément d’heures

Le complément d’heures est une période où la durée du travail de votre salarié à temps partiel est temporairement augmentée. L’instauration d’un complément d’heures doit être prévue par votre convention collective.

Chaque complément d’heures prévu doit faire l’objet d’un accord entre les parties par la conclusion d’un avenant au contrat de travail. L’avenant devra préciser la période ainsi que la durée du travail durant celle-ci.

Les heures effectuées dans le cadre du complément d’heures ne font pas l’objet d’une majoration de salaire, sauf dispositions conventionnelles contraires.

3. Le passage à temps plein

Il est possible que votre besoin soit d’aller à 35 heures ou au-delà sur une période. Dans ce cas, vous n’aurez d’autre choix que de réaliser un avenant avec votre salarié pour le faire passer de son temps partiel à un temps plein.

Il est important de noter qu’il n’est pas possible de prévoir dans cet avenant que le passage à temps complet ne sera effectif que pour une période donnée.

Dès lors, une fois votre période de forte activité terminée, il vous faudra alors refaire un nouvel avenant pour « repasser » votre salarié à temps partiel.

Par Elsa Breuzin, Assistante du Service Employeurs

Article issu de la Lettre aux employeurs de Novembre 2023 – Retrouvez l’intégralité du magazine dans votre espace client.

Toutes les actualités

11 décembre 2023 - Information Cerfrance

Actualités de la semaine : aides énergies, loi de partage de la valeur…

Temps de lecture 2 minutes

logo C mon info cerfrance pch

Retrouvez toute l’actualité qui impacte les chefs d’entreprise.

Aides énergies : les modalités de soutien aux consommateurs d’énergie en 2024

Le gouvernement souhaite concentrer en 2024 son soutien sur le stock des contrats d’électricité signés au cœur de la crise à des prix élevés avec un engagement de longue durée encore en vigueur en 2024. Découvrez en détails les mesures.

Pour en savoir plus >

La loi de partage de la valeur

Définitivement adoptée par l’Assemblée nationale, le 22 novembre 2023, la loi Partage de la valeur a été publiée à peine quelques jours plus tard, au JO de ce jeudi 30 novembre 2023 ; le texte n’ayant fait l’objet d’aucune saisine du Conseil constitutionnel, il entre donc en vigueur le 1er décembre 2023.

Pour en savoir plus >

Inscription des entreprises relevant du régime général au compte AT/MP jusqu’au 11 décembre

Depuis le 1er janvier 2022, la notification du taux de cotisation accidents du travail et maladies professionnelles (AT/MP) se fait obligatoirement de manière dématérialisée pour l’ensemble des entreprises relevant du régime général. Les entreprises doivent remplir cette obligation en s’inscrivant au compte AT/MP sur le site net-entreprises.fr avant le 11 décembre 2023 sous peine de pénalités.

Pour en savoir plus >

Les formations

  • 18 janvier : L’agronomie pour la performance de votre exploitation agricole
  • 24 janvier : Mieux se connaître pour mieux travailler ensemble

Accédez à toutes nos formations >>

Toutes les actualités

07 décembre 2023 - Fiche de paie & Conseil RH

La loi de partage de la valeur

Temps de lecture 5 minutes

nos chiffres clés

Définitivement adoptée par l’Assemblée nationale, le 22 novembre 2023, la loi Partage de la valeur a été publiée à peine quelques jours plus tard, au JO de ce jeudi 30 novembre 2023 ; le texte n’ayant fait l’objet d’aucune saisine du Conseil constitutionnel, il entre donc en vigueur le 1er décembre 2023.

Certains points nécessiteront des décrets d’application.

Voyons ici les principales mesures :

Prime de partage de la valeur (PPV)

La loi apporte plusieurs améliorations au régime de la PPV avec :

La possibilité pour l’employeur de verser deux primes par année civile, contre une actuellement

Les plafonds d’exonération de
3 000 et 6 000 € sont alors appréciés au regard de la
globalité des primes versées sur l’année civile.

La périodicité de versement est inchangée puisque le versement de la prime ou des deux primes peut être réalisé en une ou plusieurs fois, dans la limite d’une fois par trimestre, au cours de l’année civile.

Le maintien du régime renforcé d’exonération sur 2024, 2025 et 2026 dans les entreprises de moins de 50 salariés

Les PPV versées entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2026 par une entreprise de moins de 50 salariés à des salariés ayant perçu au cours des
12 mois précédant leur versement une rémunération inférieure à
3 fois la valeur annuelle du SMIC correspondant à la durée de travail prévue au contrat, bénéficient des exonérations de droit commun applicables à toutes les PPV mais sont également exonérées :

  • d’impôt sur le revenu ;
  • de CSG-CRDS ;
  • de forfait social.

La possibilité de placer la PPV sur un plan d’épargne salariale ou d’épargne retraite d’entreprise, et de l’exonérer ainsi d’impôt sur le revenu (en attente de décret).

Si vous avez déjà versé une prime en 2023, vous pouvez en verser une seconde d’ici le
31 décembre, en prenant en compte les plafonds de 3 000 ou 6 000 € par an. Il convient, comme avant, de rédiger une DUE ou un accord d’entreprise.

Nouvelles obligations pour les entreprises réalisant un certain niveau de bénéfice

L’expérimentation a pour objet d’imposer aux entreprises d’au moins 11 salariés, non soumises à l’obligation de mettre en œuvre la participation, d’instituer un dispositif de partage de la valeur lorsqu’elles réalisent durant trois exercices consécutifs un bénéfice net fiscal au moins égal à 1 % du chiffre d’affaires.

Entreprise de 11 à moins de 50 salariés :

Le dispositif expérimental s’applique aux entreprises qui répondent à 3 conditions :

  • La première condition repose sur l’effectif de l’entreprise. Sont soumises à la nouvelle obligation les entreprises d’au moins 11 salariés.
  • Ensuite, ces entreprises doivent réaliser pendant 3 exercices consécutifs un bénéfice net fiscal au moins égal à 1 % du chiffre d’affaires.
  • Enfin, pour relever de la nouvelle obligation, les entreprises qui répondent aux 2 critères précédents ne doivent pas être tenues de mettre en place un régime de participation.

Sont donc concernées les entreprises de moins de 50 salariés, mais également celles qui ont franchi le seuil d’au moins
50 salariés depuis moins de 5 années civiles consécutives.

Application d’un dispositif de partage de la valeur

Dès l’exercice suivant le 3ème exercice consécutif dégageant un bénéfice net fiscal au moins égal à
1 % du chiffre d’affaires, les entreprises répondant aux 3 conditions posées par la loi doivent :

  • Soit mettre en place un régime de participation :
    • par application d’un accord de participation agréé conclu au niveau de la branche ;
    • par mise en place volontaire de la participation ;
    • par application du dispositif expérimental de participation dérogatoire prévu par la loi.
  • Soit mettre en place un régime d’intéressement :
    • selon les modalités de droit commun de conclusion d’un accord d’intéressement ;
    • par application d’un accord d’intéressement agréé conclu au niveau de la branche ;
  • Soit abonder dans les conditions de droit commun un PEE, un PEI, un PERCO…
  • Soit verser la prime de partage de la valeur.

Il est prévu que les entreprises dans lesquelles l’un des dispositifs précédents est mis en œuvre et s’applique au titre de l’exercice considéré, sont réputées satisfaire à la nouvelle obligation.

L’obligation de mettre en place l’un des dispositifs de partage de la valeur s’applique aux exercices ouverts après le
31 décembre 2024. Les trois exercices précédents sont pris en compte pour l’appréciation du respect de la condition relative à la réalisation du bénéfice net
fiscal.

Entreprises de 50 salariés et plus

La loi crée une obligation pour les entreprises de 50 salariés et plus afin qu’elles négocient sur des modalités de partage de la valeur en cas de bénéfice exceptionnel.

En matière d’épargne salariale : intéressement, participation et plans d’épargne

Dans ce volet, la loi prévoit toute une série d’aménagements répondant à un objectif de simplification et de rationalisation.

On peut souligner en matière de participation une expérimentation, qui durera 5 ans, ayant pour objet d’inciter les entreprises de moins de 50 salariés à mettre en place la participation pour leurs salariés.

Elles auront temporairement la possibilité de se doter d’un régime moins favorable que le régime légal, en appliquant une formule de calcul de la réserve spéciale de participation dérogatoire.

Par Christelle Dupin-Rappart, Responsable juridique du service social

Article issu de la Lettre aux employeurs de Décembre 2023 – Retrouvez l’intégralité du magazine dans votre espace client.

Toutes les actualités

29 novembre 2023 - Agriculture, Relations Humaines & Coaching

Le bien-être des salariés profite au bien-être de l’exploitation

Temps de lecture 4 minutes

agriculteur-champ-blé

Que faut-il mettre en place pour améliorer sa performance d’entreprise ?

Les conditions de travail de vos salariés sont des facteurs de fidélisation et sont à valoriser. L’objectif est d’agir sur leur confort au travail, le sens des missions qui leur sont confiées et leur bonne compréhension du projet de votre exploitation.

Un cadre légal

La qualité de vie au travail, plus communément appelée la QVT, regroupe différents enjeux pour les entreprises. Elle vise à assurer l’équilibre entre la vie personnelle et la vie professionnelle, l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, la lutte contre toute discrimination, l’amélioration de la mobilité des salariés ainsi que l’insertion professionnelle et le maintien dans l’emploi des travailleurs handicapés.

La négociation sur la QVT constitue une obligation légale pour les entreprises d’au moins 50 salariés. Cette négociation donne lieu à un accord qui a pris un nouveau tournant avec la loi « santé au travail » de 2021 (applicable en mars 2022), puisque la QVT devient la QVCT (qualité de vie et des conditions de travail ). Elle intègre désormais les questions liées aux conditions de travail.

Un enjeu de fidélisation

Au sein des exploitations et entreprises agricoles, il s’agit de favoriser l’engagement des salariés autour du projet de l’exploitation et de donner davantage de sens au travail des collaborateurs. Le monde agricole est confronté aux changements environnementaux, à une concurrence économique avec des prix tendus sur les produits. Il est en pleine mutation dans ses modes de production, il convient de faire régner une atmosphère d’entraide et de collaboration. L’employeur doit pouvoir répondre aux interrogations des salariés : « Quel sens à mon travail  ? », « Quelle est ma contribution aux efforts de l’entreprise ? », « Pourquoi y va-t-on et comment ? »

Quelques actions à envisager

La qualité de vie et des conditions de travail se coconstruit avec toutes les parties prenantes (salariés, chefs d’équipe, représentants du personnel). Tous sont acteurs du bien-être au travail. Une exploitation qui emploie beaucoup de main-d’œuvre saisonnière ne doit pas négliger ces aspects, notamment dans la fidélisation de ses collaborateurs. Vous pouvez mettre en place des questionnaires anonymes qui vous aideront à recueillir l’avis de vos employés sur leurs attentes, leur charge de travail, le type de véhicule à acheter, l’adéquation des horaires…

Le secteur agricole est le premier employeur de main-d’œuvre en France. Les exploitants doivent valoriser l’image de leur exploitation, renforcer l’attractivité de leurs métiers, favoriser l’intégration des nouveaux salariés et mieux fidéliser le personnel.
La mise en valeur du poste de travail est importante et ne doit pas être négligée. Il s’agit d’avoir le matériel adapté et de qualité. Vos salariés apprécieront d’avoir des tracteurs climatisés, des nouvelles technologies performantes, un bureau ou un véhicule confortable, des espaces de détente ou de partage : la santé d’une entreprise passe par la santé et le bonheur de ses équipes !

Il convient aussi de pouvoir offrir à vos employés un bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle, par exemple en leur permettant la flexibilité du temps de travail par des horaires individualisés, en adoptant la semaine de 4 jours, en instaurant des congés pour enfant malade, en facilitant la prise de congés, en proposant du télétravail pour les postes qui le permettent…

Concernant le télétravail, les salariés y ont goûté et en redemandent ! Si cela vous concerne, tous les postes ne sont pas télétravaillables et il faut l’expliquer. Ensuite, il faut allier télétravail et organisation de l’exploitation, établir une charte et appliquer le droit à la déconnexion. Par ailleurs, il convient de trouver aussi l’équilibre entre l’isolement et le travail en équipe.

Par Christelle Dupin-Rappart, Responsable juridique du service social Cerfrance Midi-Méditerranée

Article issu du magazine Cerfrance « Gérer pour Gagner » mai, juin, juillet 2023 – Retrouvez l’intégralité du magazine dans votre espace client.

Toutes les actualités

28 novembre 2023 - Artisans du btp, Développement d'activité

Enquête de conjoncture dans le secteur du Bâtiment – novembre 2023

Temps de lecture 1 minute

artisan-du-batiment-equipe

Pour le mois de novembre 2023, le climat des affaires s’assombrit de nouveau, son indicateur subit une très légère baisse (102), mais reste toujours au-dessus de sa longue période (100).

Téléchargez l’enquête de conjoncture Bâtiment de novembre 2023 réalisée par l’INSEE en cliquant ici.

Vous pouvez également retrouver l’enquête de conjoncture du mois d’octobre 2023 >

bulle-bleue

Découvrez notre offre Bâtiment Compta & Conseil en cliquant ici.

artisan-du-batiment-expert-comptable

Toutes les actualités

27 novembre 2023 - Information Cerfrance

Actualités de la semaine : mesures agricoles dans le projet loi de finances 2024, transmission d’exploitation…

Temps de lecture 2 minutes

logo C mon info cerfrance pch

Retrouvez toute l’actualité qui impacte les chefs d’entreprise.

En coulisses…
Les principales mesures agricoles annoncées dans le cadre du projet de loi de finances pour 2024

Dans le cadre du projet de loi de finances 2024, découvrez les mesures agricoles annoncées.

Pour en savoir plus >

Transmission d’une exploitation agricole : pourquoi l’anticiper ?

La transmission de son exploitation agricole impacte beaucoup d’éléments qu’il faut préparer. Votre équipe conseil Cerfrance vous accompagne pour réussir votre transmission et vous projeter vers un nouveau projet de vie en toute sécurité.

Pour en savoir plus >

Accidents du travail, le monde agricole particulièrement touché   

Parmi l’ensemble des individus touchés par les accidents du travail, près de 15% sont issus du monde agricole. Afin de sensibiliser aux risques professionnels, le gouvernement vient de lancer une large campagne de communication à laquelle le ministère en charge de l’agriculture s’est associé.

Pour en savoir plus >

Les formations

  • 4 janvier : Transmission du patrimoine et protection de la famille
  • 9 janvier : Gestion financière de l’entreprise et du patrimoine

Accédez à toutes nos formations >>

Toutes les actualités

23 novembre 2023 - Informatique & Conseil digital

Cybersécurité : les bonnes pratiques

Temps de lecture 1 minute

juristes_fiscalistes

La cybersécurité est un enjeu majeur actuellement, il est crucial de connaître les bonnes pratiques pour protéger ses données en ligne.

Découvrez les quatre bonnes pratiques pour votre cybersécurité à mettre en place au sein de votre entreprise :

  1. Assurez-vous de maintenir à jour votre navigateur, utilisez la navigation privée pour éviter le stockage de données sensibles, et soyez vigilant en évitant les réseaux wifi inconnus lors de la connexion de vos appareils.
  2. Protégez votre sécurité en ligne en limitant la divulgation de votre numéro de téléphone, en restant vigilant face aux appels et SMS de numéros inconnus et envisager la double authentification.
  3. En cas de faux documents à signer ou emails frauduleux, ne pas hésiter à contacter les expéditeurs pour s’assurer de leurs authenticités.
  4. Travaillez avec des espaces de stockage externes, et ou depuis le cloud/One drive pour s’assurer leurs disponibilités.
Toutes les actualités

22 novembre 2023 - Artisans du btp, Informatique & Conseil digital

Le numérique pour les artisans du bâtiment 

Temps de lecture 5 minutes

informatique-conseil-digital-éleveur-équin-équestre

Que faut-il mettre en place pour améliorer sa performance d’entreprise ?

Bien que la priorité pour un artisan du bâtiment soit de gérer et développer son activité au quotidien, il devient indispensable en tant que chef d’entreprise avisé d’intégrer le numérique dans son entreprise afin d’optimiser son organisation, répondre aux prochaines réglementations en matière de facturation électronique, sécuriser son système informatique, se démarquer de la concurrence, améliorer sa visibilité et gagner de nouveaux chantiers.

Les trois actions numériques prioritaires

Elles vous sont recommandées par Cerfrance Poitou-Charentes pour améliorer la productivité dans votre entreprise :

  1. Intégrer des outils numériques pour faciliter les process, répondre aux obligations réglementaires et gagner en productivité : la mise en place d’un système de prise de rendez-vous en ligne ou l’utilisation d’une solution de devis et de facturation ou de gestion commerciale (obligatoire avec l’arrivée progressive de la facture électronique et des plateformes de dématérialisation) peuvent améliorer l’efficacité opérationnelle de l’artisan.
  2. Mettre en place un suivi et des analyses régulières de son activité : La mise en place de tableaux de bord pour suivre les performances de l’activité de l’entreprise permet redresser rapidement une trajectoire, d’identifier les sources de coûts et de rentabilité et de prendre les bonnes décisions au bon moment.
  3. Sécuriser les données de son entreprise : La sécurité des données en ligne est cruciale pour protéger les informations des clients et de l’entreprise contre les cybermenaces. Les premières actions à mettre en place sont simples et peu coûteuses même pour les TPE. Renseignez-vous.

Pour aller plus loin dans la numérisation de son entreprise

L’artisan du bâtiment peut également mettre en place différentes actions de communication digitale pour améliorer sa visibilité sur le web, développer sa notoriété, capter et fidéliser des clients. Voici un plan d’action type pour un artisan du bâtiment :  

  • Créer son site Web : Un site Web professionnel permet à un artisan du bâtiment de présenter ses services, son expertise et ses réalisations. Il doit être convivial, informatif et adapté aux appareils mobiles.
  • Référencer son site Web avec de l’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO) : Le travail de SEO aide à améliorer le classement du site Web de l’artisan dans les résultats de recherche. Cela permet d’attirer davantage de clients locaux qui recherchent des services de construction et/ou de rénovation.
  • Mettre en place une stratégie de contenu : La création de contenu utile et informatif, comme des articles de blog sur des sujets liés à la rénovation, des brèves sur des astuces de professionnel, des témoignages clients en vidéo, des photos de réalisations avant/après avec l’explication des différentes étapes du chantier peuvent aider à établir l’expertise de l’artisan et à améliorer la visibilité en ligne.
  • Mettre en place et gérer ses réseaux sociaux : Les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram et LinkedIn peuvent être utilisés pour partager des projets de l’artisan, des témoignages clients et des actualités de l’entreprise. La gestion des réseaux sociaux aide à créer une présence en ligne engageante.
  • Gérer la publicité en ligne de son entreprise : Des campagnes de publicité ciblées sur les moteurs de recherche ou les réseaux sociaux peuvent aider à attirer de nouveaux clients.  
  • Gérer ses avis clients en ligne : Les avis clients sur des plateformes comme Google My Business sont importants pour la réputation en ligne de l’artisan. La gestion des avis peut aider à gérer les retours clients de manière positive.
  • Communiquer régulièrement par le biais de newsletters ou de campagnes emailing sur les services, les nouvelles offres, les promotions du moment, les événements ou les actualités de l’entreprise permet de rester en contact avec sa clientèle et de susciter de nouvelles demandes de devis.
  • Analyser ses résultats en choisissant les indicateurs de performance les plus pertinents par rapport aux objectifs fixés.

Le service conseil numérique de Cerfrance Poitou-Charentes peut accompagner les artisans du bâtiment à identifier les points d’amélioration au niveau numérique au sein de leur entreprise, mettre en place un plan d’action sur-mesure par rapport aux priorités des chefs d’entreprise, proposer des accompagnements individualisés ou collectifs et mettre en place des solutions numériques répondant aux besoins spécifiques des artisans.